Lastly, we thank the Brain, Behavior, and Immunity senior editorial staff for their support of this special issue. The authors of this manuscript have nothing to declare. Nicole Saiontz provided editorial support and Kate McNeil provided administrative management for the special issue. The National Cancer Institute Network on Biobehavioral Pathways in Cancer provided scientific consultation for the development of the Figure. Figure illustration by Ethan Tyler. Figure design Selleckchem Ixazomib by Will Bramlett. “
“The article published in this journal with the code [2011;52(3):130–134]
and the name “The Efficacy of Creamatocrit Technique in Evaluation of Premature Infants Fed With Breast Milk” (authored by Hsiang- Yu Lin, Hsin-Yang Hsieh, Hung-Hsin Chen, Hsiao-Yu Chiu, Hung-Chih Selleckchem Afatinib Lin, Bai-Horng Su) has a correction. The affiliation of the corresponding author “Bai-Horng Su” has been updated as shown above. “
“The article published in this journal with the code [2011;52(2):113–116] and the name “Acute Onset of Dizziness Caused by a Cavernous Malformation Lateral to the Fourth Ventricle: A Case Report” (authored by Wen-Chieh Yang, Jiun-You Chen, Kang-Hsi Wu, Han-Ping) has a mistake. The spelling of the author “Jiun-You Chen“ should be corrected to “Chun-Yu Chen”. “
“This article [2012;53(2):133–137] titled
“Clinical Impacts of Delayed Diagnosis of Hirschsprung’s Disease in Newborn Infants”, published in this journal, has a mistake. The spelling of the author name “Ming-Chou Chian” in the author byline should be corrected to “Ming-Chou Chiang”. The authors apologize for this
oversight. “
” Il émanait de la personne de Francis Giraud une empathie naturelle qui retenait son interlocuteur. D’emblée, celui-ci était mis en confiance et livrait ce qu’il n’avait jamais encore eu la possibilité de dire. Cette Vitamin B12 allure bonhomme ne devait pourtant pas tromper. Derrière cette avenance, une volonté affirmée d’aller de l’avant. Des convictions bâties depuis l’enfance, et qu’il s’attachait à parfaire. Avec une authenticité qui ne se cachait pas, Francis Giraud savait d’un mot rappeler d’où il venait, ce qui l’habitait et ce qui le faisait aimer la vie. Une sorte de bon sens tranquille ramenait toujours les arguments les plus compliqués à des mots simples. En fait, cet homme aimait les hommes. Sa vie entière en est une démonstration aussi simple qu’éclatante. Il avait reçu de ses parents la foi du charbonnier, le sens de la famille et le goût de la médecine. Il y avait, réunis chez cet homme, les ingrédients d’une vie heureuse. Sa foi, il n’en parlait qu’en confidence en distinguant bien ce qui revenait à la laïcité républicaine. Il s’attachait à une grande tolérance pour ne jamais s’éloigner de la douleur des gens quelles que soient les circonstances. Le sens de la famille était son second héritage.